Agir sur sa production d’acides gras à chaîne courte

Agir sur sa production d’acides gras à chaîne courte

Agir sur sa production d’acides gras à chaîne courte

Le microbiote intestinal

L’ allié de notre santé

L’organisme évolue en symbiose avec l’écosystème qu’il abrite au niveau du tractus digestif. Il se compose d’une multitude de micro-organismes (virus, bactéries, archées, champignons) et forme le microbiote intestinal. Chacune des bactéries joue un rôle clé dans de nombreuses fonctions vitales de l’organisme et également dans le maintien d’une bonne santé. Néanmoins, si l’équilibre est rompu, les bactéries, qui étaient initialement bénéfiques pour la santé, peuvent exprimer leur pouvoir délétère et entraîner des troubles comme les maladies neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson…), les maladies métaboliques (diabète, obésité), les cancers ou les allergies.

Les facteurs qui modifient le microbiote intestinal 

Le microbiote intestinal se construit dès la naissance et jusqu’à l’âge de 2 ans et demi environ. Ensuite, il est considéré comme stable et sa composition ne va évoluer qu’avec certains facteurs tels que :  les maladies, le stress, la prise de médicaments, le niveau de santé, le régime alimentaire, la zone géographique etc. Sous l’influence de ces derniers, la composition bactérienne peut changer.

Comment agir sur le microbiote intestinal ? 

Aujourd’hui, un lien est avéré entre l’alimentation et la composition bactérienne du microbiote intestinal. Il est donc important d’avoir une alimentation variée et équilibrée pour façonner au mieux son microbiote et ainsi pouvoir profiter de ses bienfaits. Par exemple, il est recommandé d’accroître sa consommation de fibres alimentaires au détriment des glucides simples. En effet, en plus d’être rassasiantes et bénéfiques pour le transit intestinal, elles diminuent le risque de diabète, de cancers et de maladies cardiovasculaires. Enfin, elles nourrissent également les bonnes bactéries intestinales. 

 

Alimentation riche en glucides simples microbiote intestinal Nahibu

Les glucides, plus couramment appelés “sucres” sont des molécules dont la fonction est d’apporter de l’énergie à l’organisme sous forme de calories. On distingue les glucides simples (ou monosaccharides) et complexes (ou polysaccharides). Les glucides simples comme le glucose, le fructose, ou le galactose, sont des molécules non hydrolysables, c’est-à-dire qu’ils ne peuvent pas être coupés en molécules plus petites.

Les glucides complexes sont, quant à eux, formés par l’enchaînement de glucides simples. Parmi eux, il y a les disaccharides comme le lactose et le saccharose, qui se composent de deux glucides simples, et les polysaccharides (amidon, cellulose, glycogène etc.), composés de plus de deux glucides simples. Seuls les glucides simples et les disaccharides des glucides complexes ont un pouvoir sucrant. Les polysaccharides n’en ont pas.

 

Alimentation riche en fibres alimentaires pour le microbiote intestinal Nahibu

Les fibres alimentaires sont des glucides complexes d’origine végétale et qui ne sont ni digérés, ni absorbés par l’organisme. Elles peuvent être de deux types : les fibres solubles et les fibres insolubles. D’ailleurs, les fibres sont naturellement présentes dans l’alimentation végétale toutefois leur répartition est hétérogène. Les légumes (artichaut, betterave, carotte, brocoli, chou etc.), les légumineuses (haricots, lentilles, pois chiches etc.), les céréales complètes (avoine, épeautre, riz brun etc.), les fruits (pomme, poire, orange, pamplemousse etc.) ainsi que les fruits secs (datte, pruneau etc.) en sont d’excellentes sources.

Digestion des fibres alimentaires

Une fois ingérées, les fibres alimentaires vont traverser le tube digestif jusqu’au côlon sans être digérées ou absorbées. C’est au niveau du côlon qu’elles vont d’abord subir une hydrolyse (ou dissociation) par des enzymes et ensuite, une fermentation par les bactéries et libérer des acides gras à chaîne courte. Certains d’entre eux exercent leurs fonctions au niveau de l’intestin alors que d’autres vont migrer et agir à travers l’organisme. 

 

Alimentation variée équilibrée enrichie en fibres alimentaires acides gras à chaîne courte Nahibu

Les acides gras à chaîne courte 

 

Que sont les AGCC ? 

Les acides gras à chaîne courte (AGCC) sont un sous-ensemble d’acides gras synthétisés par le microbiote intestinal lors de la fermentation des polysaccharides non digestibles comme les fibres alimentaires. Ce sont plus simplement des molécules produites par les bonnes bactéries intestinales lors de la fermentation des aliments. Il en existe plusieurs comme l’acétate, le butyrate, le lactate, le propionate et le succinate, dont les proportions et les rôles varient. L’acétate, le butyrate et le propionate sont les plus représentés. Chacun d’entre eux joue un rôle important dans le maintien de la santé et dans le développement des maladies.

Ou agissent les AGCC ? 

Une fois produits, les AGCC peuvent rester dans le côlon et servir aux cellules intestinales ou être transportés dans la circulation sanguine pour aller agir sur d’autres organes. La production d’AGCC est influencée par différents facteurs. Elle va dépendre du nombre d’espèces bactériennes présentes dans le microbiote intestinal. La source de fibre alimentaire ainsi que le temps de transit vont également jouer un rôle.

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Quels sont les effets des AGCC sur la santé ? 

Les AGCC sont aujourd’hui perçus comme les médiateurs des effets bénéfiques des fibres alimentaires et du microbiote intestinal sur la santé de l’hôte. Tout d’abord, ils jouent un rôle clé dans le maintien de la santé intestinale. Ils améliorent l’intégrité de la barrière intestinale en régulant le pH, la production de mucus et en fournissant l’énergie nécessaire aux cellules épithéliales pour mener à bien leurs fonctions. Ils modulent également les réponses inflammatoires et immunitaires.  Ils régulent la fonction des cellules immunitaires ainsi que la différenciation des lymphocytes. Les lymphocytes sont des globules blancs qui font partie du système immunitaire et protègent l’organisme contre les agressions (bactéries, virus, maladies etc.). Ils limitent également la prolifération des cellules tumorales. De plus, ils agissent sur les muscles squelettiques en modulant leur fonction ainsi que leur capacité d’exercice. Enfin, ils préviennent contre le risque de troubles gastro-intestinaux, d’hypertension, de résistance à l’insuline, d’obésité, de cancers et de maladies cardiovasculaires.

Comment connaître son taux d’AGCC ? 

Il est aujourd’hui possible d’analyser son microbiote intestinal. En plus de pouvoir déceler l’appauvrissement de la biodiversité bactérienne qui est associé au risque de dysbiose, l’analyse permet également de détecter les acides gras à chaîne courte.

Comment accroître le nombre d’AGCC ? 

L’alimentation étant le principal facteur qui influence la quantité d’acides gras à chaîne courte, il est aujourd’hui indispensable d’intégrer à son alimentation des denrées riches en fibres pour stimuler leur production. En effet, plus la consommation de fibres est élevée, plus il y aura d’AGCC produits.

Zoom sur les bactéries intestinales Nahibu

Focus sur le butyrate  

Une alimentation enrichie en fibres est extrêmement favorable pour la santé. Augmenter ses taux de butyrate présente plusieurs bénéfices. En plus d’être la source majeure d’énergie pour les cellules épithéliales, il joue un rôle clé dans la prévention des cancers et des maladies inflammatoires de l’intestin. De plus, il a été démontré qu’une supplémentation en butyrate pourrait diminuer le risque d’obésité.

Focus sur le succinate

Le succinate, quant à lui, semble avoir des effets négatifs. On retrouve des taux élevés de succinate dans la lumière intestinale chez des patients qui présentent une dysbiose ou encore une maladie inflammatoire de l’intestin. Toutefois, son implication reste à être confirmée.

En conclusion, il est impératif de veiller à avoir un apport suffisant en fibres alimentaires pour permettre au microbiote de produire des acides gras à chaîne courte et ainsi favoriser une bonne santé. En plus de leurs bienfaits sur le microbiote, les fibres sont essentielles pour l’organisme. Elles agissent comme nos alliées pour un bien-être optimal et pour limiter le risque de développer certaines maladies. Les acides gras à chaine courte sont considérés comme les médiateurs clés entre l’alimentation, le microbiote intestinal et la santé. Nahibu, acteur de l’alimentation de demain, propose une solution d’analyse du microbiote intestinal qui en mesure la diversité  et détecte les AGCC.  

 

Sources :

Jian Tan, Craig McKenzie, Maria Potamitis, Alison N Thorburn, Charles R Mackay, Laurence Macia. The role of short-chain fatty acids in health and disease. 2014.

Sean M McNabney, Tara M Henagan. Short Chain Fatty Acids in the Colon and Peripheral Tissues: A Focus on Butyrate, Colon Cancer, Obesity and Insulin Resistance. 2014.

Yao Yao, Xiaoyu Cai, Weidong Fei, Yiqing Ye, Mengdan Zhao, Caihong Zheng. The role of short-chain fatty acids in immunity, inflammation and metabolism. 2020.

James Frampton, Kevin G Murphy, Gary Frost, Edward S Chambers. Short-chain fatty acids as potential regulators of skeletal muscle metabolism and function. 2020.

E E Blaak, E E Canfora, S Theis, G Frost, A K Groen, G Mithieux, A Nauta, K Scott, B Stahl, J van Harsselaar, R van Tol, E E Vaughan, K Verbeke. Short chain fatty acids in human gut and metabolic health. 2020.

Julia M W Wong, Russell de Souza, Cyril W C Kendall, Azadeh Emam, David J A Jenkins. Colonic health; fermentation and short chain fatty acids. 2006.

Sathish Sivaprakasam, Puttur D Prasad, Nagendra Singh. Benefits of short-chain fatty acids and their receptors in inflammation and carcinogenesis. 2016.

 

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Un microbiote déséquilibré est-il la cause de l’obésité ?

Un microbiote déséquilibré est-il la cause de l’obésité ?

Un microbiote déséquilibré est-il la cause de l’obésité ?

Quelle est l’importance de l’obésité dans le monde ?

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), en 2016, 1,9 milliard d’êtres humains étaient en surpoids et plus de 2,8 millions de personnes décèdent chaque année du fait de leur surpoids ou de leur obésité. Après avoir touché les pays à revenu élevé, ce qu’on appelle « l’épidémie d’obésité » affecte désormais aussi les pays à faible ou moyen revenu.

L’Indice de Masse Corporelle (IMC), indicateur de corpulence, est la mesure la plus communément utilisée pour définir l’obésité et le surpoids. Il est calculé en divisant le poids en kg par le carré de la taille en m. Entre 25 et 30, on est en surpoids ; au-delà de 30, on parle d’obésité. L’excès de masse grasse induit de nombreux risques pour la santé, d’autant plus si cette graisse est abdominale.

Il existe différents degrés d’obésité selon lesquels les risques pour la santé s’aggravent. De nombreuses maladies chroniques telles que le diabète de type 2, les maladies cardio-vasculaires et le cancer ont pour facteur de risque le surpoids et l’obésité. C’est pourquoi le maintien d’un poids sain (IMC entre 18,5 et 25) est un enjeu majeur de santé publique.

Malgré les actions de prévention et les solutions thérapeutiques existantes (régime, chirurgie, prise en charge psychologique…), l’obésité ne cesse de gagner du terrain depuis plusieurs décennies, les chiffres ayant presque triplé dans le monde depuis 1975. C’est une maladie complexe dont la cause se trouve parfois ailleurs que dans les comportements alimentaires.

Un déséquilibre du microbiote intestinal chez les personnes obèses.

Toujours selon l’OMS, 41 millions d’enfants de moins de 5 ans étaient en surpoids ou obèses en 2016. On dit qu’un microbiote « obésogène » se met en place dès la naissance. Le microbiote intestinal est l’ensemble des micro-organismes présents dans l’intestin, participant à la digestion et à notre santé en général. Quel est donc le rôle du microbiote dans l’obésité ?

D’après de nombreuses études scientifiques, il existe aujourd’hui un lien évident entre microbiote et prise de poids. En effet, la flore intestinale d’une personne obèse est significativement différente de celle d’un individu de corpulence normale.

Une des premières études scientifiques sur le lien entre obésité et microbiote a observé que des souris dépourvues de microbiote intestinal depuis la naissance étaient plus minces que des souris normales, malgré un apport calorique supérieur. Ceci s’explique par la capacité de nos bactéries à extraire des calories additionnelles des aliments pour nous permettre de tirer profit au mieux de notre alimentation. De plus, les caractéristiques de l’obésité étaient transmissibles à des souris sans flore intestinale en leur greffant les microbes provenant des souris obèses. Cela signifie que la présence du « microbiote obèse » chez des souris auparavant sans bactéries intestinales a causé l’obésité. Ces résultats suggèrent un lien étroit entre obésité et microbiote, toutefois, ces expériences ont été menées sur des souris, et la greffe de microbiote a eu lieu sur des souris ne possédant pas de microbiote. Or, aucun humain n’est dépourvu de microbes intestinaux…

Chez les Hommes et les animaux, l’obésité est associée à une diversité microbienne plus faible. De plus, chez les obèses, la proportion du phylum Firmicutes augmente alors que le phylum Bacteroidetes a tendance à diminuer. Ceci induirait une plus grande facilité à extraire l’énergie des aliments, et augmenterait le stockage des calories sous forme de graisse dans le tissu adipeux. Des déficits en Akkermansia muciniphila, une bactérie avec des effets bénéfiques sur l’intestin, ont également été observés chez les personnes en surpoids.

Il existe aujourd’hui un lien évident entre un microbiote altéré et la prise de poids.

Le microbiote est-il la cause de l’obésité ?

On observe des changements dans la composition microbienne intestinale des personnes en surpoids ou obèses. Le microbiote serait-il donc responsable de la prise de poids ? Tout n’est pas si simple. Le développement de l’obésité est multifactoriel et il est impossible d’en identifier une cause unique. Il est le fruit d’interactions complexes entre des facteurs génétiques, environnementaux et le microbiote intestinal.

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Comment le microbiote régule-t-il la prise alimentaire ?

Les bactéries intestinales produisent des composés lors de la digestion de résidus alimentaires dans le côlon. Ces composés, ou métabolites, ont un effet sur nos tissus mais aussi sur le cerveau, directement ou indirectement en agissant via des fibres nerveuses comme le nerf vague, reliant intestin et cerveau. Ils influent sur le métabolisme, l’appétit et la prise alimentaire.

Le microbiote intestinal produit des neurotransmetteurs comme la sérotonine et le GABA (acide gamma-aminobutyrique) qui régulent l’appétit. La sérotonine supprime l’appétit en modulant les neurones à mélanocortine qui contrôlent le maintien du poids du corps. Le GABA, quant à lui, stimule la prise alimentaire et est essentiel à la régulation de la balance énergétique.

Autres métabolites d’importance, les acides gras à chaîne courte (acétate, butyrate et propionate) sont également produits par la fermentation bactérienne. Ils peuvent modifier la libération d’hormones provenant de l’intestin vers la circulation et ainsi réguler l’appétit.

Probiotique pour maigrir et lutter contre l'obésité

Des probiotiques pour maigrir ?

Le déséquilibre du microbiote présent chez les personnes obèses n’est pas irréversible. Une étude a en effet montré que les modifications observées dans le microbiote (hausse des Firmicutes et baisse des Bacteroidetes) ont été réduits suite à un changement de régime visant à perdre du poids et de la masse grasse chez les obèses.

Peut-on modifier sa flore intestinale pour maigrir ? La capacité du microbiote intestinal à être modulé et son lien avec le surpoids ouvre de nouvelles opportunités de traitement. Une des options les plus prometteuses vise à modifier sa composition. En effet, la présence ou l’absence de certaines bactéries dans le microbiote intestinal aurait un rôle significatif dans la prise de poids.

Les probiotiques, des micro-organismes vivants qui, administrés en quantité adéquates, confèrent un effet bénéfique à l’hôte, offrent des possibilités de traitement. Les espèces de Bifidobacterium et Lactobacillus sont parmi les plus communément utilisées dans les probiotiques et auraient des effets anti-obésité. Akkermansia muciniphila produirait également des actions bénéfiques en inversant les effets métaboliques de l’obésité. Toutefois, la plupart des études testant ces probiotiques ont été menées sur des rongeurs ; il est donc impossible à l’heure actuelle de conclure sur l’efficacité d’une bactérie particulière pour prévenir ou traiter l’obésité chez l’Homme.

Les prébiotiques quant à eux, sont des composés non-digestibles qui, après leur métabolisme par les micro-organismes intestinaux, modulent la composition du microbiote, son activité ou les deux, ce qui génère des effets positifs sur l’hôte.

Un régime riche en fibres, et donc riche en prébiotiques naturellement présents dans l’alimentation, augmente l’abondance de bactéries bénéfiques comme certaines espèces de Bifidobacterium et Lactobacillus. Il vaut mieux donc plutôt voir le microbiote comme un allié contre l’obésité.

Conclusion :

Il est difficile de déterminer si le microbiote est la cause de l’obésité car de nombreux paramètres, environnementaux et génétiques, interviennent dans le développement de cette maladie. Un déséquilibre du microbiote ainsi que des changements d’abondance de certaines espèces ont été observés chez les personnes obèses comparées aux personnes saines. L’obésité et le surpoids sont donc associés à une signature microbienne altérée. Toutefois, les mécanismes biologiques de régulation de la prise de poids, de l’appétit et de la satiété sont complexes et il paraît difficile d’identifier une bactérie qui guérira l’obésité.

A l’heure actuelle, il est préférable de se concentrer sur des moyens de prévention tels que la pratique d’une activité physique régulière, une alimentation équilibrée et la surveillance de l’équilibre de son microbiote intestinal. La présence de fibres variées dans l’alimentation permet non seulement d’augmenter la richesse du microbiote intestinal, mais aussi d’augmenter la sensation de satiété, d’améliorer la production d’acides gras à chaîne courte et de réguler l’absorption des graisses. Il est donc recommandé de manger des fruits, légumes et légumineuses en quantité suffisante (au moins cinq portions par jour) pour lutter au mieux contre le surpoids. La pratique d’une activité physique régulière permet de dépenser des calories et favorise également la diversité du microbiote. Enfin, un déséquilibre de la flore intestinale, éventuellement lié au surpoids, peut être révélé par une analyse du microbiote.

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